mercredi 6 février 2013

Théâtre

Tragédie maritime pour 2201 personnages et 3177 petites cuillères : The great disaster, Patrick Kermann, éditions Lansman, 1999 Giovanni Pastore fait de la mort ce que Sartre définit comme la vie: « une succession de répétitions d’une représentation qui n’aura jamais lieu ». The great disaster est un conte où le fantastique se prend dans les mailles de la réalité sociale.

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